BERYL
avec un peu de retard, je vous présente Béryl
Il n’y a pas péril
À vous parler de Béryl
Nous devions être à la mi- avril
Quand attendant mon cousin du brésil
Je vis arriver avec lui Béryl
Sans même bouger un cil
Il me passa sur le gril
Avec ses questions débiles
Une ressemblance me semble-t’il
Avec le goupil
Du monde, il se croyait le nombril
Pas du tout subtil
M’offrit un bouquet de persil
Ne supportant pas l’exil
Retourna vite dans son île
Avant même la fin avril