ma mère l'oie
Ma mère l’oie,
En aval, louvoie
Pour s’approcher de moi
Elle et moi, on se tutoie.
Elle ne voit pas mes pattes-d’oie.
Elle me met le cœur en joie.
Quand je la côtoie,
Que je caresse ses plumes de soie,
Pour moi, ses ailes, déploie.
Jamais, qui que ce soit, ne rudoie.
Ma mère l’oie,
Au bien-être, toujours pourvoie.